Partons à la découverte de la géobiologie…

La géobiologie c’est quoi?
C’est l’étude de la qualité vitale d’un lieu, et sa répercussion sur le monde vivant, végétaux, animaux et humains…
Cette qualité énergétique dépend de très nombreux facteurs, et la conjonction de ceux-ci donne un résultat plus ou moins propice à la vie. Par ailleurs, les êtres vivants ont des besoins différents : les besoins d’un arbre sont différents de ceux d’une fourmi, d’un humain ou d’un chat par exemple.

Géobiologie et influence sur le vivant : humains, arbres, abeilles…

Tuto ’Couloirs à abeilles » :
Il est très facile de fabriquer soi-même un lobe antenne, ou ’poisson’ pour trouver ces réseaux géomagnétiques qu’affectionnent les abeilles, et ainsi participer à leur bonne santé.

Tuto Sourcier : Comment fabriquer sa baguette en V, ou en Y ?
L’eau a une influence sur notre santé, et il faut faire attention à ne pas placer son lit à l’aplomb de ces courants d’eau. Nous ignorons souvent que les paramètres ’géobiologiques’ ont une importance pour la santé d’une ruche. Ils peuvent être bénéfiques ou négatifs.

Quelques facteurs :
les courants d’eau souterrains émettent des ondes par frottement de l’eau sur les parois rocheuses. Ces ondes ont un effet dévitalisant sur la plupart des êtres vivants, notamment sur les colonies d’abeilles mellifères. Il faut en éloigner les ruches de deux mètres au moins. Ces réseaux souterrains ne sont pas visibles à l’œil nu, et ils sont parfois très profonds. C’est leur débit qui a une influence : un petit courant de fort débit agira, tandis qu’une nappe phréatique n’aura pas d’effet.
On remarque sur l’image ci-dessous que l’arbre se penche pour éviter les ondes reçues par la ramure.

Les réseaux magnétiques des métaux : Nickel (Hartmann), Fer (Curry) : Selon leur polarité (+) ou (-) ils agissent en élevant ou en abaissant la vitalité. Les forts réseaux négatifs sont à éviter lors de l’installation d’une ruche. Dans la nature les abeilles ne choisissent jamais de tels emplacements.

Les réseaux magnétiques du Cuivre (ou Cuivre-Or) ou « couloirs à abeilles »
Ils sont très bénéfiques pour les abeilles quelque-soit leur polarité. Il en existe des petits, des moyens et des gros. Les essaims colonisent de préférences des cavités traversées par ces réseaux. Et les arbres s’y développent bien aussi.

réseaux géobiologiques

Les Anciens connaissaient cette science et ces réseaux qu’ils nommaient ’couloirs à abeilles’ . L’observation de très antiques ruchers montre que les ruches y étaient placées de préférence sur ces réseaux pour favoriser leur vitalité, et leur résistances immunitaires.
Ces phénomènes nous intéressent depuis de nombreuses années et nous essayons de comprendre la nature des emplacements préférés des abeilles du point de vue géobiologique.
Nous connaissons de nombreuses colonies installées de façon spontanée dans notre environnement proche : églises, arbres creux, trous de murs, pigeonnier, tour, poteaux électriques en béton, fenêtres… lorsque nous en avons l’occasion, nous analysons ces points et cela conforte peu à peu notre analyse : là où elles ont choisi de vivre, les abeilles se portent mieux qu’ailleurs.

Une première approche des phénomènes géobiologiques

Faut-il avoir un don pour pratiquer la géobiologie,…détecter de l’eau par exemple ?
Non, cette faculté n’est pas réservée à quelques heureux élus qui posséderaient ce don. En réalité, nous avons tous les facultés nécessaires, plus ou moins endormies en nous.
Comme pour l’apprentissage d’un instrument de musique, lorsque la motivation est là, nous progressons et nous améliorons rapidement avec un peu d’entraînement.

Elles sont connues des hommes depuis la nuit des temps ! Partout dans le monde on connaît des exemples de lieux sacrés datant de plusieurs millénaires, implantés sur des sites très puissants énergétiquement. Ceux qui les ont établis n’avaient pas nos moyens modernes, mais ils percevaient sans doute les phénomènes telluriques avec une sensibilité très éveillée et repéraient ainsi les meilleurs sites.
A titre d’exemple, citons les spectaculaires alignements de menhirs de Carnac, ou encore le cromlech de Stonehenge.
Aujourd’hui, nous vivons d’une telle façon que nos perceptions sensorielles se sont émoussées. Il nous faut retrouver une bonne réceptivité, et réveiller nos perceptions pour ’sentir’ et comprendre mieux les lieux que nous parcourons.

Y a-t-il différentes méthodes de détection ?
Chaque pratiquant, professionnel ou amateur, utilise les outils qui lui conviennent le mieux.
On peut se servir d’outils très simples, faits-maison :
La recherche de courants d’eau souterrains peut se pratiquer avec une fourche de noisetier (coudrier) en Y, dite ’baguette de sourcier’
Le « poisson » (lobe-antenne) ou les baguettes coudées en L peuvent servir à détecter la plupart des phénomènes géobiologiques (voir la vidéo ci-dessus pour plus de détails).
Le choix de outils est évolutif. On peut abandonner un outil pour un autre qui nous semble plus rapide ou plus net.
Voici une vidéo où Alain présente le pendule et les cadrans, ainsi que la mesure du biochamp.

Géobiologie et influence sur les Arbres

influence de l’eau sur les arbres

Ce pin nous indique une difficulté rencontrée, confirmée par une analyse rapide aux baguettes

Les arbres se développent plus ou moins bien selon l’emplacement où ils poussent. La nature du sol et le climat sont importants, bien entendu, mais il arrive parfois qu’un sujet semble végéter tandis que les autres se développent normalement, ou il ne parvient pas à donner de fruits. D’autre fois le tronc est singulièrement tordu : autant de signes qui peuvent nous mettre la puce à l’oreille et nous inciter à chercher la réponse avec les outils du géobiologues. Il est possible qu’un passage d’eau souterrain se trouve juste à l’aplomb de l’arbre en difficulté. Le déplacer de quelques dizaines de centimètres pourra dans lui permettre de se dégager de l’influence négative qui le freinait.